Après 50 ans de présence ininterrompue, la gauche radicale n’est plus représentée à l’exécutif de la 2ème Ville de Suisse. Alors que les crises sociales, écologiques et économiques actuelles, avec les politiques de réduction des moyens pour les collectivités publiques, nécessiteraient des réponses radicalement solidaires et de renforcement des services publics, le curseur de l’exécutif se déplace vers le centre-droite. Avec leur choix ruineux de la division des forces de la gauche combative, les dirigeants de SolidaritéS portent une lourde responsabilité pour l’exclusion de cette gauche-là de l’exécutif.
Le PdT, qui représente plus d’un tiers des suffrages obtenus le 15 mars par l’ensemble de la gauche combative en Ville de Genève, poursuivra son engagement politique pour réaliser un changement en profondeur, social, solidaire et écologique de la société et il le fera avec toutes les forces qui oeuvrent dans le même sens et en respectant la démocratie, l’égalité et la transparence.
Pour le Parti du Travail
Alexander Eniline, président
Tobia Schnebli, membre du Comité directeur